- Barajar
ActivarDesactivar
- Alphabetizar
ActivarDesactivar
- Frente Primero
ActivarDesactivar
- Ambos lados
ActivarDesactivar
- Leer
ActivarDesactivar
Leyendo...
Cómo estudiar sus tarjetas
Teclas de Derecha/Izquierda: Navegar entre tarjetas.tecla derechatecla izquierda
Teclas Arriba/Abajo: Colvea la carta entre frente y dorso.tecla abajotecla arriba
Tecla H: Muestra pista (3er lado).tecla h
Tecla N: Lea el texto en voz.tecla n
Boton play
Boton play
120 Cartas en este set
- Frente
- Atrás
Handicap intellectuel (trouble
du développement intellectuel) C.Dx: A. |
A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes,
la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés. |
Handicap intellectuel (trouble
du développement intellectuel) C.Dx: B. |
B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le
fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme la communication, la participation sociale, l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité. |
Handicap intellectuel (trouble
du développement intellectuel) C.Dx: C. |
C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement
|
Fonctions intellectuelles
|
le raisonnement,
la résolution de problèmes, la planification, la pensée abstraite, le jugement, l’apprentissage par l’instruction et l’expérience, et la compréhension pratique |
Retard global du développement
|
Categorie réservé aux sujets de moins de 5 ans quand le degré de sévérité clinique ne peut être évalué avec certitude pendant la première enfance.
Des enfants qui sont trop jeunes pour subir des tests standardisés. Cette catégorie requiert une réévaluation ultérieure. |
Handicap intellectuel (trouble du développement
intellectuel) non spécifie |
Cette catégorie est réservée aux sujets de plus de 5 ans quand l’évaluation du degré de
handicap intellectuel au moyen des méthodes disponibles est rendue dificile voire impossible en raison d’altérations sensorielles ou physiques, comme lors de cécité, de surdité précédant l’acquisition du langage, de troubles locomoteurs ou de la présence de sévères problèmes de comportement ou d’un trouble mental associé. |
Troubles de la communication
|
Les troubles de la communication comprennent les déficits:
Du langage: la forme, la fonction et l’utilisation d’un système conventionnel de symboles. De la parole: la production expressive de sons et comprend l’articulation de l’individu. De la Comunication: comprend tout comportement verbal ou non verbal (intentionnel ou non) |
Troubles de la communication
Trouble du langage C. Dx: A. |
A. Dificultés persistantes d’acquisition et d’utilisation du langage dans ses différentes modalités (c.-à-d. langage parlé, écrit, langage des signes ou autre forme) dues à un manque de compréhension ou de production incluant les éléments suivants :
|
Troubles de la communication
Trouble du langage C. Dx: A. 1 |
1. Vocabulaire restreint (connaissance et utilisation des mots).
|
Troubles de la communication
Trouble du langage C. Dx: A. 2 |
2. Carence de structuration de phrases (capacité d’assembler des mots et de les
accorder afin de former des phrases selon les règles grammaticales et morphologiques). |
Troubles de la communication
Trouble du langage C. Dx: A. 3 |
3. Déficience du discours (capacités d’utiliser le vocabulaire et d’associer des phrases
pour exprimer ou décrire un sujet ou une série d’événements, ou pour tenir une conversation). |
Trouble du langage
C. Dx: B. |
B. Les capacités de langage sont, de façon marquée et quantifiable, inférieures au niveau
escompté pour l’âge du sujet. Il en résulte des limitations fonctionnelles de la communication eficiente, de la participation sociale, des résultats scolaires, du rendement professionnel, soit de manière isolée, soit dans n’importe quelle combinaison. |
Trouble du langage
C. Dx: C. |
C. Les symptômes débutent dans la période précoce du développement.
|
Trouble du langage
C. Dx: D. |
D. Les dificultés ne sont pas imputables à un déficit auditif ou à d’autres déficiences sensorielles, à un déficit moteur cérébral ou à une autre affection neurologique ou médicale, et elles ne sont pas mieux expliquées par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou par un retard global du développement.
|
Trouble de la phonation
C. Dx: A. |
A. Dificulté persistante de la production de phonèmes interférant avec l’intelligibilité du discours ou empêchant la communication orale de messages.
|
Trouble de la phonation
C. Dx: B. |
B. La perturbation réduit l’eficacité de la communication, ce qui compromet un ou plusieurs des éléments suivants : la participation sociale, la réussite scolaire, les performances professionnelles.
|
Trouble de la phonation
C. Dx: C. |
C. Les symptômes débutent pendant la période précoce du développement.
|
Trouble de la phonation
C. Dx: D. |
D. Les dificultés ne sont pas imputables à des pathologies congénitales ou acquises,
telles qu’une inirmité motrice cérébrale, une fente palatine, une surdité ou une perte de l’audition, une lésion cérébrale traumatique, ou toute autre affection neurologique ou médicale. |
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. |
A. Perturbations de la fluidité verbale et du rythme de la parole ne correspondant pas à l’âge du sujet et aux compétences langagières. Elles persistent dans le temps et se caractérisent par la survenue fréquente d’une ou plusieurs des manifestations suivantes :
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 1 |
1. Répétition de sons et de syllabes.
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 2 |
2. Prolongation de sons, aussi bien de consonnes que de voyelles
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 3 |
3. Mots tronqués (p. ex. pauses dans le cours d’un mot).
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 4 |
4. Blocages audibles ou silencieux (pauses dans le discours, comblées par autre chose
ou laissées vacantes) |
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 5 |
5. Circonlocutions (substitution de mots pour éviter un mot problématique).
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 6 |
6. Tension physique excessive accompagnant la production de certains mots.
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx: A. 7 |
7. Répétition de mots monosyllabiques entiers (p. ex. « je je je je le vois »).
|
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx. B. |
B. La perturbation de la fluidité verbale entraîne une anxiété de la prise de parole ou des
limitations de l’eficience de la communication, de l’interaction sociale, de la réussite scolaire ou professionnelle, soit de manière isolée, soit dans n’importe quelle combinaison. |
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx. C. |
C. Les symptômes débutent pendant la période précoce du développement (N.B. : Les
cas plus tardifs sont cotés 307.0 [F98.5] trouble de la fluidité verbale débutant à l’âge adulte.) |
Trouble de la fluidité verbale apparaissant
durant l’enfance (bégaiement) C. Dx. D. |
D. La perturbation n’est pas imputable à un trouble moteur du langage ou à un déicit
sensoriel, un trouble de la fluidité en lien avec une atteinte neurologique (p. ex. accident vasculaire cérébral, tumeur, traumatisme) ou une autre affection médicale, et n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental. |
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. A. |
A. Dificultés persistantes dans l’utilisation sociale de la communication verbale et non
verbale, se manifestant par l’ensemble des éléments suivants : |
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. A. 1 |
1. Déficiences dans l’utilisation de la communication à des fins sociales, comme saluer quelqu’un ou échanger des informations, d’une façon appropriée au contexte social.
|
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. A. 2 |
2. Perturbation de la capacité à adapter sa communication au contexte ou aux besoins
de l’interlocuteur, comme s’exprimer de façon différente en classe ou en cour de récréation, parler différemment à un enfant ou à un adulte, et éviter l’emploi d’un langage trop formel. |
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. A. 3 |
3. Dificultés à suivre les règles de la conversation et de la narration, comme attendre son
tour dans la conversation, reformuler ses phrases si l’on n’est pas compris, et savoir comment utiliser les signaux verbaux et non verbaux pour réguler une interaction |
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. A. 4 |
4. Dificultés à comprendre ce qui n’est pas exprimé explicitement (c.-à-d. les sousentendus) ainsi que les tournures figurées ou ambiguës du langage (p. ex. idiomes, humour, métaphores, significations multiples devant être interprétées en fonction du
contexte) |
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. B |
B. Ces déficiences entraînent des limitations fonctionnelles dans un ou plusieurs des éléments suivants : communication effective, intégration sociale, relations sociales, réussite scolaire, performances professionnelles.
|
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. C |
C. Les symptômes débutent pendant la période précoce du développement (mais il se peut
que les déficiences ne deviennent manifestes qu’à partir du moment où les besoins en termes de communication sociale dépassent les capacités limitées de la personne). |
Trouble de la communication sociale
(pragmatique) C. Dx. D |
D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale ou neurologique
ni à des capacités limitées dans les domaines du vocabulaire et de la grammaire, et ils ne sont pas mieux expliqués par un trouble du spectre de l’autisme, un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel), un retard global du développement ou un autre trouble mental. |
Trouble de la communication non spécifié
|
est utilisée dans les situations où le clinicien choisit de ne pas spécifier la raison pour laquelle les critères d’un trouble de la communication ou d’un trouble neurodéveloppemental spécifique ne sont pas
remplis, y compris des tableaux cliniques où l’on dispose d’informations insufisantes pour porter un diagnostic plus spécifique. |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. A |
A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des
contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) : |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. A 1 |
1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de
l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des dificultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité d’initier des interactions sociales ou d’y répondre. |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. A 2 |
2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des
interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale. |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. A 3 |
3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant,
par exemple, de dificultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des dificultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs |
Spécifier la sévérité actuelle :
|
La sévérité repose sur l’importance des déficits de la communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs
|
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. B |
B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme
en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) : |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. B 1 |
1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du
langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques). |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. B 2 |
2. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, dificulté à gérer les transitions, modes
de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours). |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. B 3 |
3. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans
leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants). |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. B 4 |
4. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les
aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements). |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. C |
C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais
ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises). |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. D |
D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de
fonctionnement actuel social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants |
Trouble du spectre de l’autisme
C. Dx. E |
E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déicience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre un trouble du spectre de l’autisme et un handicap
intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général. |
Spéciier si :
|
-Avec ou sans déficit intellectuel associé
-Avec ou sans altération du langage associée -Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental -Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental -Avec catatonie |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A |
A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le
fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2) : |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 |
1. Inattention : Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins
6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles : |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION a. |
a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex. néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis)
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION b. |
b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex. a du
mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations ou la lecture de longs textes). |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION c. |
c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex. semble
avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente). |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION d. |
d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex. commence des tâches mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire)
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION e. |
e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex. dificulté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, dificulté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION f. |
f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un
effort mental soutenu (p. ex. le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles). |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION g. |
g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex. matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles)
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION h. |
h. Se laisse souvent facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 1 INATTENTION i. |
i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex. effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler
des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous) |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. A 2 Hyperactivité et impulsivité |
2. Hyperactivité et impulsivité : Six (ou plus) des symptômes suivants persistent
depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles |
2 Hyperactivité et impulsivité
|
N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement
opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. |
2 Hyperactivité et impulsivité
a. |
a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
|
2 Hyperactivité et impulsivité
b. |
b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester
assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place). |
2 Hyperactivité et impulsivité
c. |
c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié
(N.B. : Chez les adolescents ou les adultes cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice.) |
2 Hyperactivité et impulsivité
d. |
d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir
|
2 Hyperactivité et impulsivité
e. |
e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou dificile à suivre).
|
2 Hyperactivité et impulsivité
f. |
f. Parle souvent trop.
|
2 Hyperactivité et impulsivité
g. |
g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour
dans une conversation) |
2 Hyperactivité et impulsivité
h. |
h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une ile d’attente)
|
2 Hyperactivité et impulsivité
i. |
i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. B |
B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant
l’âge de 12 ans |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. C |
C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents dans au moins deux contextes différents (p. ex. à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
|
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. C |
D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent
la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel. |
Déficit de l’attention/hyperactivité
C. Dx. E. |
E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p.ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de la personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
|
Spécifier le type :
combinée |
Présentation combinée : Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
|
Spécifier le type :
inattentive prédominante |
Présentation inattentive prédominante : Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
|
Spécifier le type:
hyperactive/impulsive prédominante |
Présentation hyperactive/impulsive prédominante : Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli mais pas le critère A1
(inattention) |
Trouble spéciique des apprentissages
C. Dx. A. |
A. Dificultés à apprendre et à utiliser des compétences scolaires ou universitaires, comme
en témoigne la présence d’au moins un des symptômes suivants ayant persisté pendant au moins 6 mois, malgré la mise en place de mesures ciblant ces dificultés : |
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. A 1 |
1. Lecture des mots inexacte ou lente et réalisée péniblement (p. ex. lit des mots isolés à voix haute de manière incorrecte ou lentement et avec hésitation, devine souvent des mots, a des dificultés de prononciation).
|
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. A 2 |
2. Dificultés à comprendre le sens de ce qui est lu (p. ex. peut lire un texte correctement mais ne pas comprendre l’ordre, les relations, les déductions ou les significations plus profondes de ce qui est lu).
|
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. A 3 |
3. Dificultés à épeler (p. ex. peut ajouter, oublier ou substituer des voyelles ou des consonnes).
|
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. A 4 |
4. Dificultés d’expression écrite (p. ex. fait de multiples erreurs grammaticales ou de ponctuation au sein des phrases ; construit mal les paragraphes ; l’expression écrite des idées manque de clarté).
|
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. A 5 |
5. Dificultés à maîtriser le sens des nombres, les données chiffrées ou le calcul (p. ex. a une compréhension médiocre des nombres, de leur ordre de grandeur et de leurs relations ; compte sur ses doigts pour additionner des nombres à un seul chiffre au lieu de se souvenir des tables d’addition comme le font ses camarades ; se perd au milieu des calculs arithmétiques et peut être amené à changer de méthode).
|
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. A 6 |
6. Dificultés avec le raisonnement mathématique (p. ex. a de grandes dificultés à appliquer des concepts, des données ou des méthodes mathématiques pour
résoudre les problèmes). |
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. B |
B. Les compétences scolaires ou universitaires perturbées sont nettement au-dessous
du niveau escompté pour l’âge chronologique du sujet, et ce de manière quantiiable. Cela interfère de façon signiicative avec les performances scolaires, universitaires ou professionnelles, ou avec les activités de la vie courante, comme le conirment des tests de niveau standardisés administrés individuellement ainsi qu’une évaluation clinique complète. Pour les individus âgés de 17 ans et plus, des antécédents avérés de dificultés d’apprentissages perturbantes peuvent se substituer à une évaluation standardisée. |
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. C |
C. Les dificultés d’apprentissage débutent au cours de la scolarité mais peuvent ne pas se manifester entièrement tant que les demandes concernant ces compétences scolaires ou universitaires altérées ne dépassent pas les capacités limitées du sujet (p. ex. lors d’examens chronométrés, de la lecture ou de la rédaction de rapports longs et complexes dans un délai bref, d’une charge de travail intellectuel excessivement lourde).
|
Trouble spécifique des apprentissages
C. Dx. D. |
D. Les dificultés d’apprentissage ne sont pas mieux expliquées par un handicap intellectuel, des troubles non corrigés de l’acuité visuelle ou auditive, d’autres troubles neurologiques ou mentaux, une adversité psychosociale, un manque de maîtrise de la
langue de l’enseignement scolaire ou universitaire ou un enseignement pédagogique inadéquat. |
Spécifier si :
|
Avec déficit de la lecture :
Exactitude de la lecture des mots Rythme et luidité de la lecture Compréhension de la lecture |
Spécifier si :
|
Avec déficit de l’expression écrite :
Exactitude en orthographe Exactitude en ponctuation et en grammaire Clarté ou organisation de l’expression écrite |
Spécifier si :
|
Avec déficit du calcul :
Sens des nombres Mémorisation de faits arithmétiques Calcul exact ou luide Raisonnement mathématique correct |
Troubles moteurs
Trouble développemental de la coordination C. Dx. A. |
A. L’acquisition et l’exécution de bonnes compétences de coordination motrice sont nettement inférieures au niveau escompté pour l’âge chronologique du sujet compte tenu
des opportunités d’apprendre et d’utiliser ces compétences. Les dificultés se traduisent par de la maladresse (p. ex. laisser échapper ou heurter des objets), ainsi que de la lenteur et de l’imprécision dans la réalisation de tâches motrices (p. ex. attraper un objet, utiliser des ciseaux ou des couverts, écrire à la main, faire du vélo ou participer à des sports). |
Trouble développemental de la coordination
C. Dx. B. |
B. Les déficiences des compétences motrices du critère A interfèrent de façon significative
et persistante avec les activités de la vie quotidienne correspondant à l’âge chronologique (p. ex. les soins et l’hygiène personnels) et ont un impact sur les performances universitaires/scolaires, ou les activités préprofessionnelles et professionnelles, les loisirs et les jeux |
Trouble développemental de la coordination
C. Dx. C. |
C. Le début des symptômes date de la période développementale précoce.
|
Trouble développemental de la coordination
C. Dx. D. |
D. Les déficiences des compétences motrices ne sont pas mieux expliquées par un handicap intellectuel (un trouble du développement intellectuel) ou une déficience visuelle et ne sont pas imputables à une affection neurologique motrice (p. ex. une infirmité
motrice cérébrale, une dystrophie musculaire, une maladie dégénérative). |
Mouvements stéréotypés
C. Dx. .A |
A. Comportement moteur répétitif et en apparence sans but, que le sujet semble être contraint d’exécuter (p. ex. secouer ou agiter les mains, balancer le corps, se cogner la tête, se mordre, frapper certaines parties du corps).
|
Mouvements stéréotypés
C. Dx. B. |
B. Le comportement moteur répétitif interfère avec les activités sociales, scolaires ou universitaires ou autres et peut entraîner des blessures corporelles (automutilations).
|
Mouvements stéréotypés
C. Dx. C. |
C. Le début date de la période développementale précoce.
|
Mouvements stéréotypés
C. Dx. D. |
D. Le comportement moteur répétitif n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une
substance ou à une affection neurologique et n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental ou neurodéveloppemental (p. ex. trichotillomanie [arrachage compulsif de ses propres cheveux], trouble obsessionnel-compulsif). |
Spécifier si :
|
Avec comportement d’automutilation (ou tout comportement qui entraînerait des blessures si des mesures préventives n’étaient pas prises)
Sans comportement d’automutilation |
Spécifier si :
|
Associé à une affection médicale ou génétique connue, un trouble neurodéveloppemental ou un facteur environnemental (p. ex. syndrome de Lesch-Nyhan, handicap intellectuel [trouble du développement intellectuel], exposition intra-utérine à l’alcool)
|
Tics
|
N.B. : Un tic est un mouvement – ou une vocalisation – soudain, rapide, récurrent et non
rythmique. |
Tics
Syndrome de Gilles de la Tourette C. Dx. A. |
A. Présence de tics moteurs multiples et d’un ou de plusieurs tics vocaux, à un moment quelconque au cours de l’évolution de la maladie mais pas nécessairement de façon simultanée.
|
Tics
Syndrome de Gilles de la Tourette C. Dx. B. |
B. La fréquence des tics peut croître et décroître mais ils persistent depuis plus d’une année après leur première apparition.
|
Tics
Syndrome de Gilles de la Tourette C. Dx. C. |
C. Le début est avant l’âge de 18 ans.
D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. cocaïne) ou à une autre affection médicale (p. ex. maladie de Huntington, encéphalite virale). |
Tics
Syndrome de Gilles de la Tourette C. Dx. D. |
D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. cocaïne) ou à une autre affection médicale (p. ex. maladie de Huntington, encéphalite virale).
|
Tics
Tics moteurs ou vocaux persistants (chroniques) C. Dx. A. |
A. Présence soit de tics moteurs soit de tics vocaux, uniques ou multiples, au cours de la maladie, mais pas à la fois moteurs et vocaux
|
Tics
Tics moteurs ou vocaux persistants (chroniques) C. Dx. B. |
B. La fréquence des tics peut croître et décroître mais ils persistent depuis plus d’une année après leur première apparition
|
Tics
Tics moteurs ou vocaux persistants (chroniques) C. Dx. C. |
C. Le début est avant l’âge de 18 ans.
|
Tics
Tics moteurs ou vocaux persistants (chroniques) C. Dx. D. |
D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. cocaïne) ou à une autre affection médicale (p. ex. maladie de Huntington, encéphalite virale).
|
Tics
Tics moteurs ou vocaux persistants (chroniques) C. Dx. E. |
E. Les critères du Syndrome de Gilles de la Tourette n’ont jamais été remplis
|
Spécifier si :
|
Avec tics moteurs exclusivement
Avec tics vocaux exclusivement |
Tics provisoires
C. Dx. A |
A. Tics moteurs et/ou vocaux uniques ou multiples.
|
Tics provisoires
C. Dx. B. |
B. Les tics sont présents depuis moins d’une année après leur première apparition.
|
Tics provisoires
C. Dx. C |
C. Le début est avant l’âge de 18 ans.
|
Tics provisoires
C. Dx. D |
D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex.
cocaïne) ou à une autre affection médicale (p. ex. maladie de Huntington, encéphalite virale). |
Tics provisoires
C. Dx. E |
E. Les critères du syndrome de Gilles de la Tourette n’ont jamais été remplis, ni ceux des
tics moteurs ou vocaux persistants (chroniques) |